Là-bas, sur les hautes plaines, souffle l’esprit du vent.

Enivrant, il traverse la lisière des deux mondes.

Simplement, en un claquement d’aile, le grand mystère se dévoile

dans l’habit de plume de l’aigle, le regard aiguisé du lynx,

dans la sagesse de l’ours, dans la fourrure du bison ou dans le cœur d’une pierre…

Au seuil des grandes métamorphoses de la vie, dansent la magie et le sacré

à travers des portraits troublants :

la pierre, l’arbre, l’animal, l’homme et le divin ne font qu’UN

dans le grand cercle de la vie.

Au son du tambour

qui rime avec humour

Aléïa nous entraîne

Sur les traces de la magie amérindienne